Le Jardin de Chaumet, une balade poétique dans la haute joaillerie.
Depuis plus de deux siècles, la Maison Chaumet écrit son histoire en parfaite harmonie avec la nature. Avec sa dernière collection de haute joaillerie, Le Jardin de Chaumet, la Maison perpétue cette conversation inspirée à travers une balade poétique. Imaginée en quatre chapitres, elle nous invite à flâner dans les bois et sous-bois, à se promener dans les champs et à laisser vagabonder notre imagination devant les fleurs et les bouquets du monde.
Dès la création de son atelier en 1780, Marie-Étienne Nitot signait ses courriers en se définissant comme un “joaillier naturaliste”. Cette connexion profonde et intime avec la nature a depuis lors insufflé une poésie unanimement saluée aux pièces de haute joaillerie de la Maison.
Afin de composer ce jardin unique, le studio de création de Chaumet s’aventure à cueillir des espèces du monde entier, faisant se croiser les paysages et les saisons. Ainsi, la collection cultive une créativité curieuse et avide de découvertes.
Avec ses soixante-huit pièces, Le Jardin de Chaumet célèbre la beauté végétale avec beaucoup de grâce. En effet, la collection met en scène une expression narrative des pièces qui jouent avec les volumes. De surcroit, les végétaux, saisis sur le vif, racontent une nature vivante et majestueuse. Il faut dire que la précision naturaliste de chaque création est aussi légère qu’une caresse du vent. Alors, la balade commence dans les bois et les sous-bois, où les espèces les plus modestes, comme le gui et la fougère, côtoient les arbres majestueux. Dans ce premier chapitre, la symbolique de ces végétaux passeurs de mémoire se fusionne avec la minutie du regard botanique cher à la Maison.
Le promeneur, encore accompagné par la beauté des bois, en sort pour découvrir un autre spectacle. Celui des champs de blé doré par le soleil et des rangs de vignes attendant les vendanges. Dans ce deuxième chapitre, la force symbolique du végétal dialogue avec l’héritage naturaliste du joaillier. Incontestablement le collier Blé célèbre l’histoire et l’héritage de la Maison à travers un motif iconique. Depuis les premiers diadèmes d’épis de blé appréciés par l’impératrice Joséphine jusqu’aux impressionnants cent cinquante épis en diamants confectionnés pour l’impératrice Marie-Louise. Ici, le collier Blé joue avec les volumes et la lumière. Évoquant un champ mûr où les épis scintillent sous le soleil, ce collier est transformable. Soulignons la présence d’un diamant de taille émeraude D-FL de type IIA pesant 10,25 carats.
Puis, après avoir déployé les champs autour des bois, le promeneur fait connaissance avec la flore. Aussi tout le charme des fleurs se déploie dans ce troisième chapitre. Nous découvrons de merveilleuses pensées, tulipes ou iris. Les pièces de cette partie de la collection offrent une explosion de nuances chatoyantes et exquises.
Enfin, l’invitation à flâner dans Le Jardin de Chaumet nous transporte dans le monde entier avec des bouquets qui font converser l’agapanthe, le magnolia et le chrysanthème. On remarque la parure magnolia qui présente sur un motif fleur un diamant taille Impératrice. L’éclat de cette taille hexagonale est particulièrement graphique. Nul doute que ce quatrième chapitre témoigne de l’ouverture contemporaine de la Maison.
Avec cette nouvelle collection de haute joaillerie, Chaumet continue de nous éblouir en transmettant l’essence même de la nature et en traduisant sa beauté dans des créations uniques. Pour tout dire, ces joyaux sont une ode à la nature et à la poésie. Une balade poétique où chaque pièce parle d’un dialogue harmonieux avec la nature. Une très belle invitation à se laisser emporter par une rêverie sans fin.