Lydia Courteille est une femme d’inspiration.
Chaque rencontre, chaque voyage nourrit son univers.
C’est dans le désert du Tassili algérien qu’elle a puisé sa dernière collection, « Sahara«
On peut y marcher des heures sans rencontrer âme qui vive, et ne croiser seulement que les empreintes de quelques énigmatiques scarabées bleus, ou les étranges silhouettes rouges peintes sur les parois rocheuses du plateau du Séfar.
Ces dessins qui datent de 9 à 10 000 ans avant Jésus-Christ, représentent des animaux, des scènes de la vie quotidienne à une époque où le Sahara était une terre fertile et chantante. On y voit des personnages dansant à l’allure énigmatique, sans doute due à des tenues et masques rituels.
Contemplons le scarabée bleu, symbole de chance, ce bleu que l’on retrouve aussi dans la tenue des touaregs qui traversent ces territoires arides.
Lydia Courteille a associé l’opale bleue d’Australie à de l’or, des topazolites à des diamants et des saphirs. Par ce voyage onirique, bichromatique fait de jaune et bleu, elle nous emmène aussi à la rencontre d’animaux surprenants.
Sans jamais oublier que sous cette immobilité apparente se cache un autre univers.
Cliquez sur l’image pour tenter de le découvrir.
C’est un moment de calme, de sérénité et de curiosité que nous offre Lydia Courteille. Une pause contemplative, pour échapper à la course du temps d’un monde où s’arrêter est un luxe.
Lydia Courteille
231 rue Saint-Honoré 75001 Paris
+33 1 42 61 11 71
www.lydiacourteille.com
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